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En tant que première femme sous-préfète dans la marine guinéenne, la capitaine Bontou Soumah a bravé les discriminations et les défis afin de réaliser son rêve, celui de devenir une marine. Ayant eu à affronter du mauvais temps, à la fois dans sa carrière et dans sa vie, elle s’est élevée au-dessus des marées pour devenir une dirigeante de premier plan dans la marine. En gravissant les échelons, elle a finalement été nommée Officière et Chevalière de l’Ordre du Mérite de la République en 2005, par décret du Président.
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Vivant dans un pays où les valeurs patriarcales sont profondément ancrées, Nazokat Begmatova, femme de 34 ans originaire d’un village du sud du Tadjikistan, a choisi une carrière professionnelle inhabituelle, celle de démineuse humanitaire. En repoussant le mariage et en attachant 25 kg d’équipement sur son corps tous les jours, elle a brisé les stéréotypes sur l’apparence de la femme au travail. Son désir d’être active, de développer son potentiel personnel et d’explorer davantage d’opportunités lui procurant une indépendance financière l’a motivée à vaincre sa grande peur des mines. Elle travaille désormais au sein d’une équipe de déminage entièrement féminine.
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Kurbongul Kosimova a mis sur pied le premier abri pour des séjours de longue durée au profit des femmes victimes du conflit et de la violence domestique, et de leurs enfants. Son organisation soutient également les victimes par le biais de la création de groupes d’entraide durables.
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Delphine Nana Mekounte, 60 ans, était la Coordinatrice Nationale des ONG du Cameroun lors de la 4e Conférence des Nations Unies sur les femmes à Beijing en 1995. Elle est aujourd’hui Directrice Générale du Centre Féminin pour la Promotion du Développement (CEFEPROD), organisation non gouvernementale qui cherche promouvoir le développement au triple plan économique, social et culturel en faveur des femmes et des jeunes.
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Les histoires de viols collectifs, de mariages forcés et de pères contraints de violer leur propre fille sous la menace d’une arme l’empêchent de dormir. Saran Keïta Diakité a écouté d’innombrables femmes raconter les atrocités infligées à la population de son pays déchiré par la guerre, le Mali, par des groupes armés depuis le coup d’État militaire commis en mars 2012. En avril 2012, elle fut l’une des rares femmes à prendre part aux pourparlers de paix à Ouagadougou, au Burkina Faso, alors que dans le monde entier, les femmes se frayaient lentement un chemin vers les pourparlers de paix.