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Messagère de la paix, mère de dix enfants et directrice de la première Cabane de la paix et du premier Centre d’autonomisation des femmes au Liberia, Annie Nushann est bien connue de toutes celles et tous ceux qui se sont employés à consolider la paix au lendemain du conflit qui a ravagé son pays. Les 17 Cabanes de la paix et Centres d’autonomisation des femmes actuels ont permis de former 425 femmes leaders aux compétences nécessaires pour la résolution de conflits, l’édification de la paix et l’autonomisation économique. Plusieurs d’entre elles ont même commencé à former aujourd’hui d’autres femmes. Les cours de gestion financière et opérationnelle de petite entreprise dispensés par ces centres ont contribué à l’instauration d’une paix durable et au renforcement de la vie économique grâce aux capacités de leadership apportées à celles qui y participent.
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Asel Sartbaeva est l’une des premières femmes scientifiques d’Asie Centrale à être mondialement reconnue. Ses travaux de recherche ont pour objectif de découvrir une substance qui aiderait au transport et au stockage des vaccins sans réfrigération, ce qui demeure aujourd’hui un problème majeur pour la prévention des maladies à l’échelle mondiale. Elle a été sélectionnée pour le prix L’Oréal - UNESCO pour les Femmes et la Science pour ses recherches sur la conservation des vaccins ; elle fait également partie de la prestigieuse organisation professionnelle 175 Faces of Chemistry, au Royaume-Uni. Ayant réussi à se faire une place dans le monde principalement masculin de la chimie et de la physique, elle travaille actuellement comme chercheuse attachée à l’université de Bath au Royaume-Uni, dans le cadre du programme Royal Research Fellowship.
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Angkhana Neelapaijit s’était figurée qu’elle aurait une vie bien différente de celle qu’elle mène aujourd’hui. La soudaine disparition forcée de son mari, Somchai Neelapaijit, avocat spécialisé dans la défense des droits humains, a changé le cours de sa vie et l’a conduite sur une voie où elle n’aurait jamais pensé s’engager. Femme au foyer diplômée en droit, s’occupant de son mari et de ses cinq enfants, elle s’est du jour au lendemain transformée en défenseuse intrépide des droits humains, travaillant sans relâche pour retrouver la trace de son mari, tout en soutenant nombre d’autres personnes dont les droits avaient été violés.
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Âgée de 27 ans, Gulzhan Kokbayeva est la seule femme ingénieure du premier réseau de métro au Kazakhstan, un pays connu pour son Cosmodrome de Baïkonour, le tout premier centre de lancement spatial au monde.
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Là où elle travaille, en Asie et en Afrique, les menaces de mort sont aussi courantes que les environnements dangereux. Elle a connu quelques victoires, de nombreux échecs, des vies sauvées et d’autres perdues. Mais le Dr Krisana Kraisintu de Thaïlande, la « pharmacienne gitane » comme tous l’appellent, est infatigable. Sa mission : garantir des soins de santé abordables pour tous, chose qu’elle considère comme un droit humain de base. « Je consacre ma vie à mettre en place une production pharmaceutique locale en formulant et en vendant des médicaments génériques abordables pour soigner le VIH/Sida, la malaria et d’autres maladies, et améliorer la santé des gens », déclare-t-elle.
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La voir vaquer à ses occupations quotidiennes sur le tarmac, c’est plutôt inhabituel. Elle a 25 ans et elle pilote des avions pour le compte d’une des plus grandes compagnies aériennes d’Asie centrale. Au Kazakhstan, où elle est basée, mais aussi ailleurs dans la région, on la connaît bien, car c’est une des très rares femmes à faire carrière dans ce domaine largement dominé par les hommes.